Dans cet article de son blog, mon arrière-arrière grand-père Antoine Wendling raconte son Mont Sainte-Odile. Comment, pour lui, ne pas évoquer cette montagne sacrée des Alsaciens, qu’il a si souvent parcourue avec sa famille ?
Une histoire riche et mouvementée
Il en raconte brièvement l’histoire, si riche et mouvementée, depuis sa fondation par celle qui deviendra la sainte patronne de l’Alsace. Bien sûr, il s’étend un peu sur les transformations successives des bâtiments du Mont. C’est normal : l’architecture est son métier
Le pèlerinage des Alsaciens
Il raconte aussi comment, petit à petit, le pèlerinage est devenu de plus en plus fréquenté, comment il s’est aussi transformé en prétexte à arpenter la montagne environnante, à en explorer le fameux Mur Païen, presque aussi mystérieux de nos jours qu’à l’époque. On comprend à quel point la notion de paysages, de forêts, de ruines, a rencontré l’âme romantique de cette fin de XIXe siècle.
Surtout, on réalise que la dimension spirituelle du Mont se doublait d’un dimension patriotique, en ces temps d’annexion prussienne.
Randonner au Mont Sainte-Odile
Il en profite, au passage, pour égratigner gentiment le phénomène naissant de la randonnée et des randonneurs, institué par le tout nouveau Club Vosgien.
Le Mont Sainte-Odile des artistes
Il nous invite enfin à découvrir les nombreux artistes alsaciens inspirés par cette montagne emblématique : Charles Spindler, Léon Elchinger, Charles Bastian, Paul Gélis… Tous membres militants du Cercle Saint-Léonard qui se réunissait au pied du Mont.
Que puis-je vous aider à écrire ?
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